C'est faux. Cette assertion cache plutôt une vérité fondamentale:
LE CLIENT A TOUJOURS LE DERNIER MOT.
En fin de compte, il a le dernier mot aux yeux du vendeur. Il faut donc retenir que la maxime de départ, celle qui fait l'objet de ce mot, tient plus à l'inquiétude du commerçant, de toute évidence, qu'à une supposée vertu morale.
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